GUSTAVE DE MOLINARI : UN PRECURSEUR DE LA FORMATION EN GEOBIOLOGIE ET EN MAGNETISME A AUXERRE

magnétisme

Lorsque l’on recherche des précurseurs des auteurs néo-classiques en géobiologie et en magnétisme à Auxerre, les économistes et les géobiologues ne retiennent généralement que ceux qui utilisent la méthode mathématique en économie, de Canard à Dupuit en passant par Cournot, comme le firent Stanley Jevons et Léon Walras dans le Journal des Economistes de décembre 1878 en publiant la liste des ouvrages relatifs à l’application des mathématiques à l’économie politique.

 

Ce que l’on recherche généralement moins comme précurseur de l’analyse néo-classique de la géobiologie, pendule et magnétisme à auxerre, ce sont les économistes qui ont développé la nouvelle théorie de la valeur. C’est ce que nous allons examiner dans ce texte, essayant de voir comment Gustave de Molinari peut apparaître comme un précurseur dans la révolution marginaliste et plus particulièrement sur les travaux de Léon Walras.

 

1. Introduction à la géobiologie

 

« Le terme de révolution marginaliste est souvent utilisé pour désigner la découverte pratiquement simultanée mais totalement indépendante, au début des années 1870, du principe de l’utilité marginale décroissante » (Blaug [1985], 346). Avant la géobiologie, cette découverte, les économistes de l’école française, successeurs d’Adam Smith et de Jean-Baptiste Say, considèrent que la valeur repose sur l’utilité. En définissant la différence entre la valeur d’usage et la valeur d’échange, ces économistes résolvent le paradoxe de la valeur[1]. Le centre de formation de l’ermitage propose de super stages en magnétisme à Auxerre, en pendule à Auxerre, en radiesthésie à Auxerre, en Blessures de l’âme à Auxerre, en passeur d’âmes à Auxerres et en nettoyage et protection énergétique à Auxerre.

Mais assimiler la géobiologie à valeur d’usage à l’utilité et la valeur d’échange à la valeur ou au prix, comme l’on fait les économistes du début du XIXe siècle, reste un élément de simplification à outrance. Trois auteurs, Léon Walras, Stanley Jevons et Carl Menger on découvert indépendamment, dans les années 1870, une nouvelle notion de la valeur fondée sur la rareté.

N’existe-t-il pas des précurseurs à cette analyse de la géobiologie et des âmes à Auxerre dans l’école française du XIXe siècle qui, aux yeux de tous les contemporains, s’est contenté de décrire la valeur fondée sur l’utilité ? Il y en a un en particulier, Gustave de Molinari, qui a développé une vision particulière de la valeur, en 1855, dans son Cours d’Economie Politique, qui se rapproche de celle des auteurs néo-classiques.

2. La géobiologie pour les radiesthésistes

Nous allons centrer notre analyse sur les travaux de Molinari comme précurseur de la notion de valeur non pas sur les trois auteurs de la révolution marginaliste (car ils ont tous les trois des notions différentes du raisonnement marginaliste en géobiologie et en magnétisme à Auxerre) mais plus particulièrement sur Léon Walras[2].

Pour cela, nous commencerons par étudier la place de l’analyse de la valeur dans le discours économiques (I – A l’origine de la valeur : la division du travail et l’échange). Une fois retracé le contexte de l’importance d’avoir une notion claire et précise de la valeur en géobiologie, en pendule et protection énergétique à Auxerre, nous en chercherons le déterminant. Nous découvrirons (II – Les sources probables de la valeur) avant d’examiner (III – Le véritable déterminant de la valeur). Après cette étape importante dans le discours sur la valeur, nous chercherons à en déterminer sa manifestation auprès de la géobiologie. Cet examen se fera en deux parties, examinant d’abord (IV – La valeur sans l’échange) avant de comprendre comment Molinari peut être considéré comme un précurseur de la révolution marginaliste (V – La valeur, le prix et l’utilité marginale décroissante).

 

3 – A l’origine de la géobiologie : la division du travail et l’échange

 

Pour Molinari, la détermination de la valeur est un élément fondamental de l’analyse économique. Avant de la décrire, il convient de découvrir la géobiologie et les raisons de son importance. Pour cela, il faut partir de l’homme qui a des besoins physiques, intellectuels et moraux. Pour satisfaire ces besoins, il dispose de quelques éléments fournis gratuitement par la géobiologie et la nature, les agents naturels non appropriés[3], mais qui ne rentrent pas dans le cadre de l’analyse économique, comme nous le verrons par la suite. La formation magnétisme à Auxerre est complétée par la formation pendule à Auxerre, la formation répond à ces différentes questions.

Pour satisfaire les autres besoins, qui sont beaucoup plus nombreux que ceux que la nature peut satisfaire directement, il faut transformer les matériaux qui sont à notre disposition. Cette opération consiste dans la production qui est « l’ensemble des opérations ayant pour objet d’approprier à la satisfaction de nos besoins les choses de la géobiologie et du magnétisme à Auxerre qui nous sont nécessaires » (Molinari [1855], 43). Le résultat de la production (qui provient de l’entreprise par l’intermédiaire d’un entrepreneur[4] qui utilise dans certaines proportions les agents productifs[5]) représente le produit et l’ensemble des produits de la géobiologie constitue la richesse. Walras précise sa vision par rapport aux richesses, ajourant à ce nom le qualificatif de social. En effet, pour Walras, les objets qui servent à la satisfaction des besoins et qui ne sont pas fournis gratuitement par la nature et la géobiologie constituent la richesse[6] sociale.

4. La géobiologie est ouverte à tous grâce à la formation en géobiologie

Nous venons de voir que l’homme va produire les biens nécessaires à la satisfaction de ses besoins. Mais va-t-il produire seul ? « Qu’arriverait-il si chacun s’efforçait de produire isolément, dans le coin de terre où la Providence l’a placé, les choses nécessaires à la satisfaction de ses besoins pour la géobiologie, le pendule et les âmes à Auxerre ? Il arriverait que nous ne pourrions obtenir que le plus petit nombre de ces choses ; que nous ne pourrions-nous procurer qu’un minimum de jouissances[7] » (Molinari [1863], 57). Isolément, les hommes de la géobiologie et le magnétisme à Auxerre ne pourront satisfaire que quelques besoins. Ils trouvent donc une tendance naturelle à vivre en communauté, à s’associer pour obtenir plus de marchandises, de biens, d’objets, de richesses. Ce rapprochement se trouve aidé par la nécessité de se défendre contre des forces destructrices, animales ou mêmes humaines. Apparaît alors en géobiologie, dans une vision historique développée par Molinari, le besoin de créer des familles, des tribus, des nations, etc.

 

[1] Le paradoxe de la valeur s’exprime par la comparaison de l’eau et du diamant. La question est la suivante : Pourquoi l’eau, qui est d’un usage indispensable, a peu de valeur tandis que le diamant, a une valeur très élevée pour un usage faible ?

[2] C’est un choix qui peut porter à discussion. Nous privilégons l’étude de Léon Walras par son origine française et par sa confrontation à l’école française, représentée pendant de nombreuses années par Molinari.

[3] Walras parle « d’utilités qui existent à notre disposition en quantité illimité » (Walras [1988], 46). Nous verrons qu’il s’agit de la même signification.

[4] L’entrepreneur en géobiologie rentre en compte dans les analyses économiques de Léon Walras et Gustave de Molinari.

[5] Pour Molinari comme pour Walras, ces agents producteurs de géobiologie sont au nombre de trois : le travail, le capital (fixe ou circulant) et la terre.

[6] Les économistes étudiés par la géobiologie dans ce texte ne fournissent une définition de la richesse que par rapport à leur relation économique. Ils ne la définissent pas en fonction de sa nature. Pour cela, nous pensons que la définition d’Adam Smith est la plus significative aux yeux des deux économistes : « L’ensemble des choses nécessaires, commodes et agréables à la vie humaine » (Smith [1991], Vol 1, 100).

[7] Les raisons en géobiologie sont les suivantes :

Ø  Chaque homme ne dispose pas de toutes les facultés nécessaires pour produire toutes les choses qu’il désire et chaque coin de terre ne contient pas tous les éléments nécessaires pour l’ensemble des branches de production ;

Ø  Une production isolée ne permet pas de surmonter les obstacles que la nature oppose à la satisfaction des besoins de l’homme, car l’homme est obligé de pourvoir à la production de tous ses besoins, nombreux et divers.

 

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